10 JANVIER 2013 - Communiqué de presse des associations environnementales des Côtes de Penthièvre et d'Emeraude.
Trop de nos sites sont dégradés par ce fléau.
Plus grave, les effets sur la fréquentation de notre région et donc sur son économie se doublent de risques majeurs pour la santé humaine et la santé animale.
Les manœuvres d’intimidation à l’encontre d’un responsable de l’une de nos associations, dont le seul tort est de s’engager dans cette lutte pour éradiquer ce phénomène qui défigure la Bretagne, sont indignes dans un pays de droit. Ces manœuvres d’intimidation doivent alerter les citoyens que nous sommes sur les dérives qu’utilisent encore de nos jours certains groupes de pression privilégiant le coup de force au rapport de droit.
La démonstration scientifique a pourtant été faite et confirmée de l’origine agricole à 90 % des algues vertes.
Nos associations ont pour seul objectif de vouloir convaincre que nous devons nous engager sur la voie d’un autre modèle agricole ; l’accompagnement technique, les aides financières de l’Etat, de nos collectivités territoriales, de l’Agence de l’Eau sont en place pour accompagner cette transition indispensable vers un nouveau modèle agricole dont l’efficacité est au moins égale, voire supérieure.
Nous sommes sous la menace d’une sanction de 28 Millions d’€uros devant la Cour de Justice de l’Union Européenne qui attend de connaître les mesures correctrices effectivement engagées.
Le ramassage des algues vertes, c’est près de 1,3 million d’€uros par an, sans compter leur traitement, le coût économique notamment touristique qui en découle.
Et bien évidemment et surtout le problème de santé publique qu’il n’est plus possible de nier, que ce soit pour la population ou pour les agriculteurs eux-mêmes.
Au lieu de chercher un bouc émissaire, il serait beaucoup plus efficace de travailler ensemble pour réaliser la nécessaire transition de l’élevage en Bretagne qui n’en peut plus d’être polluée.
Plus grave, les effets sur la fréquentation de notre région et donc sur son économie se doublent de risques majeurs pour la santé humaine et la santé animale.
Les manœuvres d’intimidation à l’encontre d’un responsable de l’une de nos associations, dont le seul tort est de s’engager dans cette lutte pour éradiquer ce phénomène qui défigure la Bretagne, sont indignes dans un pays de droit. Ces manœuvres d’intimidation doivent alerter les citoyens que nous sommes sur les dérives qu’utilisent encore de nos jours certains groupes de pression privilégiant le coup de force au rapport de droit.
La démonstration scientifique a pourtant été faite et confirmée de l’origine agricole à 90 % des algues vertes.
Nos associations ont pour seul objectif de vouloir convaincre que nous devons nous engager sur la voie d’un autre modèle agricole ; l’accompagnement technique, les aides financières de l’Etat, de nos collectivités territoriales, de l’Agence de l’Eau sont en place pour accompagner cette transition indispensable vers un nouveau modèle agricole dont l’efficacité est au moins égale, voire supérieure.
Nous sommes sous la menace d’une sanction de 28 Millions d’€uros devant la Cour de Justice de l’Union Européenne qui attend de connaître les mesures correctrices effectivement engagées.
Le ramassage des algues vertes, c’est près de 1,3 million d’€uros par an, sans compter leur traitement, le coût économique notamment touristique qui en découle.
Et bien évidemment et surtout le problème de santé publique qu’il n’est plus possible de nier, que ce soit pour la population ou pour les agriculteurs eux-mêmes.
Au lieu de chercher un bouc émissaire, il serait beaucoup plus efficace de travailler ensemble pour réaliser la nécessaire transition de l’élevage en Bretagne qui n’en peut plus d’être polluée.