Préfecture des Côtes dʼArmor : la FNSEA maître chez elle
Les masques tombent. Il se disait que les préfets et les gouvernements quʼils représentent étaient sous influence de la FNSEA et de tout lʼappareil agro-industriel. Cela ne se dit plus, cela se fait désormais au grand jour.
Non contents, en toute impunité, dʼintimider un responsable écologiste par une manifestation à son domicile pour des prétextes mensongers, une centaine dʼexploitants de la FNSEA et des jeunes Agriculteurs ont facilement obtenu de Monsieur le Préfet des Côtes dʼArmor un contrôle des installations privées de ce citoyen, pourtant reconnu en règle par les services de la mairie de sa commune.
Ainsi, en Bretagne, un groupe de pression peut décider dʼun contrôle administratif dʼun citoyen qui le dérange. Aujourdʼhui un contrôle sur ses installations privées. Et demain sʼil persiste et résiste à la FNSEA, pourquoi pas un contrôle fiscal ? un contrôle de ses comptes bancaires ? des contrôles de gendarmerie sur la route ? un contrôle de ses communications ? Tous contrôles légaux en soi, sʼils sʼimposent pour des raisons de sécurité publique, mais qui accumulés arbitrairement sur une même personne en font un harcèlement dʼEtat au service dʼintérêts privés.
Aujourdʼhui, cʼest André Ollivro qui paye le prix de notre combat pour un environnement sain en Bretagne. Et demain, à qui le tour ? Qui peut croire que la FNSEA sʼarrêtera là ?
LʼEtat de droit vacille. Cʼest à nous toutes et nous tous, citoyennes et citoyens de défendre un citoyen irréprochable, parce quʼen le défendant, nous défendons les valeurs de la démocratie et les lois de la République.
Cʼest pourquoi, les associations de la Coordination Verte et Bleue appellent leurs adhérents à être présents aux côtés dʼAndré Ollivro jeudi 24 janvier à 14h30 à la Grandville à Hillion. Nous lui apporterons un soutien sans faille et signifierons à Monsieur le Préfet ou son représentant notre défiance à son égard. Nous lui demanderons de procéder à un contrôle de la fertilisation des champs de culture intensive responsables de la pollution par les nitrates de la nappe phréatique dans laquelle Monsieur Ollivro puise son eau domestique.
Les masques tombent. Il se disait que les préfets et les gouvernements quʼils représentent étaient sous influence de la FNSEA et de tout lʼappareil agro-industriel. Cela ne se dit plus, cela se fait désormais au grand jour.
Non contents, en toute impunité, dʼintimider un responsable écologiste par une manifestation à son domicile pour des prétextes mensongers, une centaine dʼexploitants de la FNSEA et des jeunes Agriculteurs ont facilement obtenu de Monsieur le Préfet des Côtes dʼArmor un contrôle des installations privées de ce citoyen, pourtant reconnu en règle par les services de la mairie de sa commune.
Ainsi, en Bretagne, un groupe de pression peut décider dʼun contrôle administratif dʼun citoyen qui le dérange. Aujourdʼhui un contrôle sur ses installations privées. Et demain sʼil persiste et résiste à la FNSEA, pourquoi pas un contrôle fiscal ? un contrôle de ses comptes bancaires ? des contrôles de gendarmerie sur la route ? un contrôle de ses communications ? Tous contrôles légaux en soi, sʼils sʼimposent pour des raisons de sécurité publique, mais qui accumulés arbitrairement sur une même personne en font un harcèlement dʼEtat au service dʼintérêts privés.
Aujourdʼhui, cʼest André Ollivro qui paye le prix de notre combat pour un environnement sain en Bretagne. Et demain, à qui le tour ? Qui peut croire que la FNSEA sʼarrêtera là ?
LʼEtat de droit vacille. Cʼest à nous toutes et nous tous, citoyennes et citoyens de défendre un citoyen irréprochable, parce quʼen le défendant, nous défendons les valeurs de la démocratie et les lois de la République.
Cʼest pourquoi, les associations de la Coordination Verte et Bleue appellent leurs adhérents à être présents aux côtés dʼAndré Ollivro jeudi 24 janvier à 14h30 à la Grandville à Hillion. Nous lui apporterons un soutien sans faille et signifierons à Monsieur le Préfet ou son représentant notre défiance à son égard. Nous lui demanderons de procéder à un contrôle de la fertilisation des champs de culture intensive responsables de la pollution par les nitrates de la nappe phréatique dans laquelle Monsieur Ollivro puise son eau domestique.